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Prévention des conflits sociaux : le HCDS forme 656 personnes et sensibilise 366 acteurs du monde du travail

Le Président du Haut conseil du dialogue social (HCDS), Pr Domba Jean Marc PALM, accompagné de ses trois vices présidents et du Secrétaire général, a remis au Président du Faso Roch Marc Christian KABORE deux rapports et un livret sur l’historique de la création du Haut conseil du dialogue social, le mardi 24 aout 2021.


La délégation du HCDS, conduite par le Pr Domba Jean-Marc PALM, a remis au Président du Faso, Roch Marc Christian KABORE, le rapport d’activités 2020 de son institution et le rapport général des trois années de fonctionnement ainsi qu’un livret sur l’historique de la création du HCDS.

Le rapport général de la première mandature du HCDS dresse le bilan des activités menées de 2018 à 2021. Il s’articule autour de deux (02) grands points que sont : le bilan des activités et l’analyse des résultats.

Concernant le bilan des activités, le HCDS a réalisé plusieurs activités entrant dans le cadre

de la promotion du dialogue social. Il s’agit particulièrement de la résolution des conflits ainsi que des formations et sensibilisations en vue de la prévention des conflits.

Les formations ont concerné 656 personnes dont des conseillers de l’institution, des membres du gouvernement, des partenaires sociaux, des responsables des administrations déconcentrées, etc. Les actions de sensibilisation réalisées au cours du mandat ont touché 366 acteurs constitués de représentants des organisations d’employeurs et de travailleurs dans plusieurs régions du pays.

Afin de promouvoir et d’encourager le dialogue social dans les entreprises privées et l’administration publique, le HCDS a aussi réalisé au cours de son premier mandat des rencontres d’échanges et de consultation.

Le second grand point de ce rapport fait ressortir de façon globale, qu’environ la moitié des activités sur les cinquante-neuf (59) prévues a connu un niveau de mise en œuvre qui se situe entre 50 et 100%.  

« Le taux global de réalisation des activités est satisfaisant à mon avis, si l’on tient compte du contexte dans lequel ces activités ont été menées. En effet, beaucoup de difficultés ont émaillé ce premier mandat », a expliqué le Président PALM.Il s’agit des difficultés rencontrées au démarrage de l’institution, c’est-à-dire à la

première année d’existence de l’institution et celles liées à la mobilisation des ressources financières.

Selon lui, il ne faut surtout pas perdre de vue que l’essentiel des activités a été exécuté au cours de la deuxième année d’existence de l’institution, la troisième année ayant été fortement marquée par les restrictions administratives dues à la COVID-19.

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